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Vagues de chaleur : comment organiser le travail

Comment supporter la canicule au bureau

Fatigue, sueurs abondantes, nausées, maux de tête, vertiges, crampes… Les effets de la chaleur ne sont pas à négliger au travail. Voici quelques précautions à prendre pour limiter les risques.

Les thermomètres vont grimper très haut, avec des températures avoisinant les 40°C, alors que la saison estivale n’a pas encore commencé… Un avant-goût de ce qui nous attend les prochaines semaines ? Le problème, c’est que nous ne sommes pas encore en vacances : les siestes à l’ombre, ce sera pour plus tard ! En attendant, les activités physiques et cérébrales exigent de l’énergie, alors que le corps va être particulièrement sollicité. Il faut donc se préserver.

«La chaleur augmente les risques d’accidents, car elle induit une baisse de la vigilance et une augmentation des temps de réaction. La transpiration peut aussi rendre les mains glissantes ou venir gêner la vue», met en garde l’Institut national de recherche et de sécurité (INRS). L’organisme vient de publier une liste de recommandations à l’attention des entreprises.

Les mesures à prendre en cas de canicule

La meilleure des préventions consiste, bien sûr, à limiter l’exposition à la chaleur. «Pour cela il est possible d’agir sur l’organisation du travail (augmentation de la fréquence des pauses, limitation du travail physique, rotation des tâches…), l’aménagement des locaux (zones de repos climatisées, ventilation), les matériels et les équipements», souligne l’INRS, qui dresse une liste des principales mesures pouvant contribuer à réduire les risques :

– aménager les horaires de travail en période de fortes chaleurs en favorisant les heures les moins chaudes de la journée ;

– limiter le temps d’exposition du salarié à la chaleur en effectuant des rotations de personnel si possible ;

– augmenter la fréquence des pauses de récupération, dans des lieux frais ;

– permettre au salarié d’adopter son propre rythme de travail pour réduire sa contrainte thermique ;

– limiter ou reporter le travail physique pour réduire la production de chaleur métabolique;

– prévoir des sources d’eau potable à proximité des postes de travail et des aires de repos ombragées ou climatisées ;

– éviter le travail isolé, pour permettre une surveillance mutuelle des salariés et une intervention rapide si besoin ;

– former et informer les salariés sur les risques liés à la chaleur, les signes d’alerte du coup de chaleur et les mesures de premier secours ;

– prendre en compte la période d’acclimatation nécessaire (au minimum sept jours d’exposition régulière à la chaleur), en particulier pour les intérimaires, les nouveaux embauchés, les salariés de retour après une absence.

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