Toujours très attendu, le rapport du think tank Global Wellness Institute (GWI) sur les tendances bien-être mise sur les relations humaines, le tourisme de bien-être, la beauté biotechnologie et les sources chaudes.
Les salariés français ne jugent plus le travail aussi important qu’auparavant, aspirant à davantage de temps libre, selon un sondage Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès.
Face à une inflation élevée, les Français n’ont pas hésité à rogner sur les achats essentiels l’an dernier, pour maintenir leurs dépenses dans les loisirs ou la beauté, selon le baromètre BPCE Digital & Payments.
Selon une étude du groupe BPCE, la filière sport pèserait bien plus que l’on ne pensait, représentant, en fait, 2,6% du PIB français, soit 64 milliards d'euros.
La forte croissance du marché de l'esthétique médicale devrait se poursuivre dans les prochaines années, avec une progression record de 9,3% par an d’ici à 2026, indique l’organisation professionnelle Imcas.
Si la voie professionnelle est majoritairement bien vue par les Français, moins de la moitié des 15-17 ans, les premiers concernés, en ont une bonne image.
Près de 60% des praticiens non médecins (naturopathes, sophrologues, hypnothérapeutes…) ont décidé de se déréférencer de la plateforme de rendez-vous médicaux en ligne, sans attendre la résiliation automatique de leur contrat.
Dans une tribune au journal Le Monde, un collectif de médecins, de chercheurs et d’élus plaide pour une refondation du modèle actuel de santé publique, axé sur le biomédical, en l’élargissant à «la santé dans toutes ses dimensions».
Pour faire des économies d’énergie, le gouvernement a demandé aux gestionnaires de piscines privées et publiques de baisser la température de l’eau. Une mesure incitative qui n’est pas forcément du goût des nageurs, constate Rennes Métropole.
Face à l’explosion des prix du gaz et de l’électricité, les piscines publiques, fortes consommatrices d’énergie et chères à entretenir, risquent de devenir de véritables gouffres financiers pour les collectivités locales.
L’année 2022 s’est soldée par 1 407 ouvertures de procédures judiciaires dans la beauté et le bien-être, selon Altarès. Un niveau proche de celui d’avant-crise mais avec un rythme du rattrapage qui s’accélère.