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Une esthéticienne appelle a la réouverture des instituts de beauté

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Face à une situation qu’elles estiment incompréhensible, les esthéticiennes font tous les jours entendre leur voix. Dernière en date : dans une tribune sur Facebook, la présidente du Mouvement des esthéticiennes de France (MEF), Cécile Michel, fait valoir l’utilité publique des instituts.

«Nous faisons partie des professions d’utilité publique et voulons être considérées comme telles. Nous sommes conseillères, assistantes sociales et psychologues pour notre clientèle. Nos clientes désespèrent de ne pas pouvoir s’offrir ce moment dans l’atmosphère actuelle», déclare à Actu Lyon Cécile Michel, qui a publié, quelques jours plus tôt, une tribune sur Facebook, qui n’est pas passée inaperçue.

«Le secteur de l’esthétique est durement touché. Comme bien d’autres secteurs, à la différence près que personne ne parle de ce secteur d’activité qui apporte tant au bien-être mental des personnes fréquentant nos instituts», déplore dans ce texte la jeune femme, responsable d’un institut à Brignais (Rhône) et élue «meilleure esthéticienne de France» en 2018,

« Incompréhension totale »

Le bien-être, les Français en ont plus que jamais besoin, rappelle Cécile Michel, qui a aussi créé le Mouvement des esthéticiennes de France (MEF). «Pour surmonter l’ambiance anxiogène de ces derniers mois, le bien-être arrive comme un remède, la demande de soins, massages explosent à chaque sortie de confinement», écrit-elle.

«Les gens ont le moral à zéro, les écoles ferment, nos contacts sociaux sont presque réduits à néant, il faut absolument reconsidérer cette liste de commerces «non vitaux» à la Nation au risque d’amplifier ce phénomène», appuie l’esthéticienne, qui en appelle à Alain Griset, ministre délégué chargé des PME, exprimant son «incompréhension totale» face à la décision du gouvernement.

D’autant que les protocoles d’hygiène ont été respectés «à la lettre» et «aucun institut n’a été identifié comme cluster», fait remarquer la professionnelle, qui estime qu’«il n’y a aucune raison valable aujourd’hui pour que les instituts restent fermés».

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