Cette sixième édition du championnat du monde de massage accueillait 230 participants du 30 juin au 2 juillet dans la capitale danoise. Dimanche soir, le jury a désigné trois superchampions, toutes disciplines confondues. Et c’est Luisa Vargas, d’origine dominicaine, représentant les Etats-Unis, qui a obtenu la médaille d’or.
Elle a su convaincre les jurés avec son massage «Wellness Emotionnal». Installée à Southborough, près de Boston, elle s’épanouit aujourd’hui dans la création de protocoles originaux, même si, au départ, sa spécialité reste le Deep Tissue.
La médaille d’argent toutes catégories a été obtenu par la Britannique Anna Tsankova, d’origine bulgare, récompensée également d’une médaille d’or dans la catégorie massage facial. Esthéticienne de formation, Anna s’est spécialisée dans le massage depuis plus de 20 ans.
La médaille de bronze des super champions est allée sans surprise au Dr. Surasak Jittavisutthikul, d’origine thaïlandaise, qui enseigne à l’université de Wurzbourg, en Allemagne. Il a aussi obtenu sans difficulté la médaille d’or de la catégorie massage assis. Il avait déjà remporté une médaille d’or au dernier championnat d’Europe, tout comme Anna Tsankova.
Une médaille d’or française au massage sportif
Du côté français, la brillantissime Nadine Chognon Stark, vice championne du monde 2022, et championne d’Europe 2023, devient championne du monde de massage sportif.
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Epuisée, les larmes aux yeux mais avec un grand sourire aux lèvres, la jeune femme a atteint son but : faire la preuve de sa maîtrise de la discipline. En deux ans, elle a réussi à s’imposer sur le plan international. Une réalisation dont cette formatrice créative rêvait depuis longtemps.
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