On savait que de nombreux Français s’étaient tournés pour la première fois vers la méditation pendant le confinement. Près de quatre sur dix déclarent poursuivre aujourd’hui cette activité, selon une étude menée par Yougov pour Petit Bambou.
Bloqués chez eux pendant trois mois, ils ont découvert la méditation «mindfulness», pour réduire leur stress et trouver en eux-mêmes les moyens d’apaiser leur anxiété, et ils ont fini par l’intégrer dans leur vie quotidienne, même après le confinement. C’est le principal enseignement de ce petit sondage Yougov, réalisé pour l’application de méditation de pleine conscience Petit Bambou.
Cette étude indique, en effet, que 37% de ces pratiquants déclarent avoir commencé cette activité depuis la mi-mars. Une proportion qui n’est pas négligeable, alors que la pratique régulière de la méditation de pleine conscience concerne, toujours selon ce même sondage, un répondant sur cinq. Au cœur de cette activité, la volonté de réduire son stress, pour plus de huit personnes interrogées sur dix.
Un public de plus en plus large
«Ce chiffre indique une réelle volonté des Français de se tourner vers des solutions alternatives pour prendre soin d’eux et cultiver sa joie de vivre», commente dans un communiqué Benjamin Blasco, co-fondateur, avec Ludovic Dujardin, de la start-up roubaisienne Petit Bambou. Et cette activité semble bien toucher un public de plus en plus large, si l’on en croit ce sondage.
Ainsi, près de sept actifs sur dix se disent prêts à suivre des cours de méditation «si ceux-ci étaient dispensés gratuitement par leur entreprise». Les sondés recommandent aussi, dans une même proportion, d’intégrer cette pratique dans les écoles. «Un chiffre qui grimpe à 86% pour les pratiquants réguliers de la méditation», relève Petit Bambou.
Sondage réalisé en ligne au mois de septembre auprès 2009 personnes représentatives de la population nationale française âgée de 18 ans et plus.
